Boycott en Australie des produits de la mer morte « made in Israël »
Nouvelle action de boycott des produits soi-disant israéliens de la mer morte en Australie. (Vidéo)
Nouvelle action de boycott des produits soi-disant israéliens de la mer morte en Australie. (Vidéo)
Plus de 90 écrivains, universitaires de renom et autres personnalités mondialement connues demandent publiquement au gouvernement français de restituer les 90 millions de francs or extorqués par la France à Haitï à la suite de son indépendance.
L’affaire de la déchéance de la nationalité française, et celle des Roms, dans le cadre de la politique soi-disant sécuritaire de Sarkozy, suscite des réactions très choquées dans la presse étrangère.
Pas question d’aller se produire en Israël : ils viennent de s’engager publiquement à un boycott culturel de cet Etat tant qu’il violerait les droits des Palestiniens.
Voici le communiqué signé par plus de 30 organisations régionales, en soutien aux militants de Mulhouse du Collectif Boycott 68, convoqués au tribunal correctionnel de Mulhouse le 13 septembre prochain.
N’oubliez pas de leur envoyer votre propre lettre de soutien (voir ci-dessous).
En réponse à un communiqué de l’armée israélienne se disant choquée par la publication par une soldate de photos la mettant en en scène souriant devant des Palestiniens détenus, les yeux, bandés, l’association israélienne « Briser le silence », dénonce l’hypocrisie de l’armée et souligne que de telles photos sont monnaie courante sur Facebook.
Ces photos ont été prises par une jeune Israélienne pendant son service militaire. Elles ont été postées sur Facebook dans un album baptisé « Armée… le plus beau moment de ma vie ».
De Vichy à Tel Aviv, même combat, pourrait-on dire au regard des lois sur le mariage dans l’Etat hébreu, et des certificats exigés pour avoir le droit de se marier.
Historiens, passez votre chemin…
Israël n’en est plus à une bavure près. Le racisme étant le principal critère en matière de « sécurité » israélienne, une ancienne ministre d’Etat américaine, ayant le tort d’être d’origine libanaise, a eu droit à trois heures de détention et fouilles à l’aéroport de Tel Aviv, rapporte le journal Haaretz.