Nous nous sommes retrouvés à plus de 600, dimanche matin sur le parvis de la gare de Garges-Sarcelles, pour crier notre indignation et notre colère contre les crimes monstrueux commis par l’armée israélienne et notre solidarité avec la résistance du peuple palestinien.
Israel augmente le coût politique qu’il paiera pour ces trois semaines de mort et de destruction », écrit dans son editorial de vendredi le quotiden espagnol El Pais.
Contre les crimes de guerre israéliens dans la bande de Gaza, RASSEMBLEMENT DIMANCHE 18 JANVIER à 11 h 30 à la sortie de la Gare RER Garges-Sarcelles !
Le bilan des victimes s’alourdit dans la bande de Gaza. Hier soir : 1133 tués, dont 346 enfants, 100 femmes, 5200 blessés, dont beaucoup ne survivront pas et la plupart survivront amputés. Et ce matin 2 enfants sont morts après le bombardement d’une école de l’ONU. TOUS DANS LA RUE !
L’animateur, producteur et comédien Arthur a annulé un spectacle vendredi après que des manifestants réclamant l’arrêt des bombardements à Gaza ont empêché les spectateurs de rentrer dans la salle où il devait jouer « I-Show » à Vals-les-Bains (Ardèche), a-t-on appris auprès de la préfecture.
The Guardian publie ce texte, signé par un grand nombre d’universitaires et d’intellectuels basés en Grande-Bretagne. Il affirme clairement qu’il ne suffit pas d’appeler à un cessez-le-feu – le seul résultat acceptable du présent conflit est la défaite d’Israël.
Qu’elle était naïve, décidément, cette idée selon laquelle, avec l’expansion des moyens de communication, il ne serait plus possible de commettre une exaction sans que l’opinion internationale, aussitôt alertée, réagisse par une protestation unanime…. Alors que, pour compenser ce rétrécissement spectaculaire de la planète, il suffisait d’intensifier en proportion les efforts de propagande.
« Les farouches pacifistes de « La Paix Maintenant », qui ont assisté sans broncher à trois semaines de massacre intensif à Gaza, se réveillent maintenant pour chanter la paix des charniers, et appeler à une manifestation », écrit Yvon Breda, dans un billet que nous publions ci-dessous.
