Oren Medicks, l’un des dirigeants du mouvement israélien contre l’Ocuupation, Gush Shalom (« Bloc de la Paix ») s’adresse à la diaspora juive pour lui signifier qu’elle fait fausse route en croyant que défendre aveuglément l’Etat d’Israël est synonyme de lutter contre l’antisémitisme.
En ce jeudi 8 septembre, il est difficile d’obtenir des informations complètes sur le mouvement de résistance des prisonniers palestiniens, mais il semble que les négociations en cours sont très difficiles. Les nombreux transferts de prisonniers et notamment des « leaders » dans différentes prisons ont compliqué la situation. En outre, aller à leur rencontre dans les prisons israéliennes (traverser les nombreux check-points aller et retour), noter les différents points de vue, les retransmettre et organiser une concertation n’est pas simple. La volonté du gouvernement israélien d’imposer des négociations prison par prison et non de manière globale a également pesé sur le mouvement de grève, certains prisonniers étant tentés d’accepter cette solution, tandis que d’autres la refusaient. La suspension de la grève de la faim par les prisonniers d’Ashkelon le 2 septembre, après que l’administration pénitentiaire de cette prison eût cédé sur un nombre non négligeable de points, a ainsi créé une brèche dans le mouvement.
(rédaction CAPJPO/Euro-Palestine) – Une dame de 54 ans comparaîtra le 25 octobre prochain devant le Tribunal correctionnel de Tours (Indre-et-Loire), pour dénonciation mensongère, a-t-on appris mardi.
Une fillette palestinienne âgée de 10 ans a été grièvement blessée mardi à la tête par des tirs provenant d’une position israélienne alors qu’elle se trouvait dans sa classe à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, a rapporté mardi l’AFP, citant des sources hospitalières.
Nous ne savons pas encore, en ce lundi, si les prisonniers palestiniens qui avaient entamé une grève de la faim le 15 août dernier, ont obtenu satisfaction sur tout ou partie de leurs revendications.
Une chose est néanmoins certaine, les actions menées dans toutes les grandes villes de France par des collectifs regroupant de nombreuses associations ont déjà permis à des millions de citoyens de prendre conscience de la situation intolérable des ces détenus et à briser le mur du silence.
Israël, soi-disant seule démocratie du Moyen-Orient, pratique la torture, détient sans chef d’inculpation, emprisonne des enfants, châtie et humilie qutidiennement plus de 7.500 hommes, femmes et enfants qui ont eu l’audace de résister à l’occupant.
A tous les défenseurs de la politique israélienne qui nous reprochent de nous intéresser à la Palestine et nous abordent régulièrement sur le thème » Et la Tchétchénie ? », « Pourquoi vous ne dites rien sur ce que subissent les Tchéchènes ? », nous dédions ces propos compatissants de Sharon sur l’oppression des Tchétchènes, après la boucherie ordonnée par le gouvernement russe : « Les Russes ont désormais compris que l’on ne peut pas faire de distinction entre un bon et un mauvais terroriste ».
Si vous voulez rire à en pleurer, mais aussi profiter et faire profiter tous vos amis d’une véritable cure contre toutes les formes de racisme et de communautarisme, aller voir « Mes Excuses », le spectacle de Dieudonné qui joue les prolongations au Théatre de la Main d’Or.
Fadwa Barghouti, l’épouse du parlementaire palestinien kidnappé et emprisonné depuis plus de deux ans, nous informe que Marwan Barghouti n’a pas cessé sa grève de la faim et qu’au 21 ème jour de grève, son état de santé est très alarmant.
Un article publié ces derniers jours dans Haaretz, dans lequel Gideon Levy, l’un des rares journalistes israéliens (avec Amira Hass), dénonce la manière dont Israël traite les prisonniers palestiniens.
Le Comité des Familles de Prisonniers palestiniens nous demande de renforcer notre mobilisation pendant la suspension de leur grève de la faim ce week-end et l’ouverture de négogation avec 12 directeurs de prison.
