Le quotidien Libération publie lundi une « enquête », ayant pour objet et prétention d’apporter au lecteur un point complet sur l’affaire du bombardement aérien d’un campement de l’armée française à Bouaké, en Côte d’Ivoire, le 6 novembre 2004.
Cette opération avait tué 9 militaires français, et blessé 38 autres.
L’article affirme que « la France a laissé faire » le raid aérien contre ses propres forces commandé par le président ivoirien Laurent Gbagbo , et il apporte une série de témoignages en appui de cette thèse.
Mais très curieusement l’auteur de « l’enquête » omet de citer un épisode très concret, et avéré, de cette affaire. A savoir la présence, en novembre 2004 à Abidjan, d’une équipe de 46 conseillers militaires israéliens, embauchés par une firme privée avec l’aval du gouvernement israélien, et chargés d’opérer un système complet d’avions sans pilote (des drones) pour le compte du président Gbagbo.
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