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Holocauste Made in Israel

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Pendant que des médias français nous racontent qu’Israël ne s’attaque qu’au Hamas, et que certains (TF1 et le Le Figaro pour ne pas les nommer), s’imaginant déjà en terrain conquis, parlent de Jérusalem comme « la capitale d’Israël », les SS israéliens (Soldats Sionistes) bombardent un orphelinat et l’Université de Gaza. Notre colère est aussi grande que notre douleur face aux nombreux messages de nos amis de Gaza, comme Suleiman Baraka, qui nous apprennent la mort de leurs proches, femmes et enfants.


Suleiman Baraka, chercheur en astrophysique à Gaza, que nous avons accueilli le 27 septembre dernier à la librairie Résistances, nous a fait parvenir cet après-midi ce message laconique :

« My mother and my son Ibrahim are dying from F16 air strike…I am crying » (Ma mère et mon fils Ibrahim sont en train de mourir après l’attaque d’un F16… Je pleure) ».

Suleiman nous a écrit des Etats-Unis où il était parti quelques mois compléter sa formation d’astrophysicien au National Institute of Aerospace, pour ouvrir un centre de recherche en physique à Gaza à son retour.

Son fils Ibrahim avait dix ans.

Tous ceux qui le connaissent (et les autres) peuvent lui envoyer un message de soutien à suleiman.baraka@gmail.com

Ils bombardent aussi les universités

L’aviation israélienne poursuivait lundi son œuvre de destruction, avec, notamment, le bombardement de l’Université islamique de Gaza, le plus ancien des établissements d’enseignement supérieur du territoire.

On n’avait pas de nouvelles, à la mi-journée, sur d’éventuelles pertes humaines dans plusieurs immeubles d’habitation proches du campus, également touchés par ce même raid.

Un porte-parole de l’armée israélienne a confirmé le crime, en ajoutant que les laboratoires de l’université servaient à la fabrication d’armes. Mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Dans sa guerre génocidaire contre le peuple palestinien, Israël doit également, et il s’y emploie d’ailleurs, détruire tous les manuels d’éducation, de physique, de chimie, sans oublier la géométrie, la trigonométrie et l’astronomie, susceptibles d’aider aux calculs de trajectoires des roquettes. Au feu, enfin, toute littérature, parce qu’après tout, les Palestiniens qui survivront au massacre auront mieux à faire que lire des livres.

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CAPJPO-EuroPalestine

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