L’institut Mandela lance un appel pour sauver la vie du Maire de Jénine, le Dr. Hatem Jarrar, orthopédiste de 62 ans, emprisonné par l’occupant israélien dans la prison de Shatta en Israël, où il souffre de pathologies graves, non traitées.
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Ci-dessous une lettre de protestation à l’intention de Christian Estrosi, maire de Nice, envoyée par l’un de nos lecteurs, et par ailleurs une lettre au Maire de Mérignac adressée par notre amie Sakina Arnaud, qui incite chacun d’entre nous à interpeller notre maire, pour lui demander de soutenir le droit et la justice.
Les appels à l’aide nous arrivent de toutes parts : des villageois sans défense, blessés, des oliviers brûlés, la moitié de la récolte en cours déjà perdue : c’est l’oeuvre de colons qui attaquent en compagnie de soldats, tandis que les dirigeants israéliens prétendent ne plus contrôler la situation. Les Nations Unies tirent la sonnette d’alarme, mais qui bouge ?
Des centaines d’extrémistes juifs auraient envahi, hier matin, dimanche 19 octobre, la mosquée d’Al Aqsa, à Jérusalem, sans que la police israélienne n’intervienne.
Ci-dessous un article de Samah A. Habeeb sur les graves troubles psychologiques dont souffrent durablement les enfants de Gaza, suite aux bombardements et « incursions » sauvages de l’armée israélienne. Terribles conséquences, dont le journaliste palestinien donne un exemple avec le cas de la petite Sahar Owaidat.
Tandis que les Palestiniens sont bouclés depuis une semaine sans pouvoir se déplacer à l’intérieur des territoires palestiniens occupés, au moment crucial de la cueillette des olives, sous prétexte de fêtes juives, trois jeunes Palestiniens qui ne menaçaient la vie de personne ont été assassinés par les escadrons de la mort israéliens.
Tract à télécharger, imprimer, photocopier et diffuser partout ! Tract pour leur libération
Pendant que certains osent réclamer en France la libération d’un soldat de l’armée d’occupation israélienne, des femmes palestiniennes, mères de famille, comme Fatema et Khulud, croupissent dans les geôles israéliennes, y compris avec leur bébé, pour avoir résisté à une occupation brutale et au vol de leurs terres, ou encore pour exercer une pression psychologique sur leur entourage.
