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A L’agenda Palestine de cette semaine !

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MARDI 17 SEPTEMBRE A LA RADIO

La première live de l’émission « Le Mur a Des Oreilles; conversations pour la Palestine » c’est ce mardi soir soir, a partir de 19h sur Radio Panik.

Frank Barat : « Nous recevrons François Dubuisson, professeur de Droit International a l’ULB a Bruxelles. Nous parlerons de droit international biensur, de Palestine, d’Oslo, de la reprise des « négociations » mais aussi de bien d’autres choses (le cinéma comme outil de propagande, la musique…).

Le Mur a Des Oreilles est une émission radiophonique mensuelle où artistes, personnalités politiques, universitaires et militants viendront tour à tour nous parler de leur engagement et de leur expérience. Partager leur histoire et cette intime conviction qui les pousse à faire tout leur possible pour mettre un terme à une des plus grandes tragédies (in)humaines du siècle.

De septembre à juin. Chaque 3ème mardi du mois, 19h-20h sur Radio Panik 105.4 FM et www.radiopanik.org.

Podcast de la première émission : http://goo.gl/6Byuq8

MERCREDI 18 SEPTEMBRE A L’IMA

amir_Hassan_Ima.jpgLe jeune poète de Gaza, Prix spécial du jury 2012, université Al Aqsa à Gaza sera parmi les auteurs palestiniens invités par l’Institut du Monde Arabe (IMA) le mercredi 18 septembre à 19 H, et présentera ses textes dans le Tome 3 des ÉCHOS DE PALESTINE (Éditions du Littéraire.)

Écritures en liberté et la compagnie de la Feuille d’or présentent : « Lectures Palestiniennes ». Ateliers d’Écriture animés par Yanne Dimay.

« Ici, c’est Gaza. Une ville où les taxis n’ont pas de couleur précise, même les nuages n’ont pas de forme précise. Mais quand ils se mettent d’accord, ils dessinent la carte du pays » :

Amir Hassan ( « Ici, c’est Gaza » – Lauréat 2011, Prix spécial du jury 2012, université Al Aqsa, Gaza )

DU 19 AU 21 SEPTEMBRE A LA DEFENSE :

Shadi el Zaqzouq : « je suis palestinien, musulman et punk ».

affiche_expo_shadi.jpg

Il exposera à Art o’clock, une foire d’art contemporain qui ouvre ses portes à La Défense à Paris du 19 septembre au 21 septembre, représenté par la galerie Marc Monsallier.

Hind Meddeb retrace aujourd’hui l’itinéraire de l’artiste palestinien Shadi el Zaqzouq qui vit à Paris depuis cinq ans.

Exilés palestiniens, ses parents se sont rencontrés au Caire lorsqu’ils étaient encore étudiants. Professeurs, pour trouver du travail, ils ont du s’installer en Libye. Shadi el Zaqzouq est né dans une famille de six enfants où l’on entretenait le rêve d’un retour en Palestine. Pour surmonter la douleur de l’exil, l’enfant prodigue se réfugie dans le dessin et la peinture.

Shadi el Zaqzouq a 15 ans lorsque sa mère décide de rentrer à Gaza. Elle a un titre de séjour pour elle et ses enfants, mais son mari, né au Caire dans une famille de réfugiés palestiniens, fait partie de ceux qui n’ont pas droit au retour. Nous sommes en 1993 et suite aux accords d’Oslo, la mère de Shadi espère qu’elle parviendra à débloquer la situation.

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Shadi Al Zaqzouq © Emmanuelle Ricard

En 2006, Shadi el Zaqzouq gagne un prix décerné par la fondation al Qattan et le Consulat de France à Jérusalem. Il est invité pour une résidence de six mois à la Cité des Arts à Paris.

Il gagne le prix grâce à son œuvre « Ligne rouge », 60 cartons exposés sur un mur qui forment eux-même un mur qui rappelle le mur de Palestine. L’œuvre symbolise les limites à l’intérieur desquelles le peuple palestinien survit, elle décrit aussi le sentiment d’enfermement. Les peintures ont été réalisées à l’intérieur des cartons.

Face au déclenchement de la guerre civile entre le Hamas et le Fatah à Gaza, Shadi el Zaqzouq décide de rester en France. Ses premières années à Paris sont difficiles, il se sent étranger. C’est seulement lorsqu’il s’installe à Saint-Denis qu’il a l’impression de trouver sa place, dans cette banlieue métissée où il est un étranger parmi d’autres.

Dans ses dernières œuvres, Shadi el Zaqzouq représente des figures de musulmans punks : comme ce jeune homme, une crête sur la tête, un foulard palestinien autour du cou, son tapis de prière déroulé devant une bouche de métro, avec son chien tapis à ses pieds. Une image contradictoire qui détourne l’idée que l’on se fait du musulman dans la cité.

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Retrouvez l’œuvre de Shadi El Zaqzouq exposée à la Foire Art’O Clock à la Défense à Paris du 19 au 21 septembre.

CAPJPO-EuroPalestine

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