Israël et ses officines s’étranglent : comment la Commission de l’ONU sur la Condition Féminine a-t-elle osé se permettre de dénoncer Israël comme un pays où « les droits des femmes sont continuellement violés » ?
Qui va devoir s’excuser après avoir mis en cause de manière aussi claire l’Etat Juif ?
Le document, intitulé «Situation et assistance aux femmes palestiniennes», dénonce Israël pour l’occupation continue de la Cisjordanie, une situation qui selon les auteurs a conduit à « de hauts niveaux de chômage et de pauvreté » parmi les palestiniens, en particulier les femmes.
«Les femmes et les filles palestiniennes sont encore confrontées à des obstacles importants pour l’accès aux services de base, soins de santé, de soutien psychosocial, accès à l’eau et l’assainissement, les institutions judiciaires et des opportunités économiques», note le rapport.
RÉPONSE D’ISRAËL QUI VAUT SON PESANT DE CACAHUETES :
«Notre Déclaration d’Indépendance de 1948 – qui, incidemment, a été signée par deux femmes – promet l’égalité à tous nos citoyens. Au cours des dernières années, Israël a accueilli sa première femme major général, a élu une femme comme président de notre banque fédérale, et en début d’année, Miriam Naor a été nommée président de la Cour suprême d’Israël – la deuxième femme à recevoir cette distinction», a déclaré Prosor, représentant israélien au sein de cette commission de l’ONU.
CAPJPO-EuroPalestine