La judéomanie, cette obsession consistant à ne rechercher que ce qui peut être « juif » dans tout événement, est un désordre mental sévère, largement susceptible de favoriser le développement de pensées racistes.
Sheldon Adelson, roi des casinos
En ne s’intéressant qu’aux donateurs juifs des partis politiques états-uniens, avec des chiffres il est vrai impressionnants, le quotidien israélien Haaretz invite ainsi le lecteur à conclure que « ces gens-là » sont partout, et qu’ils sont les maîtres incontestés des élections américaines.
A tout seigneur tout honneur, la journaliste du Haaretz Allison Kaplan Sommer entame son article par une description de Sheldon Adelson, le magnat des casinos, et principal relais de l’Israélien Netanyahou auprès de Trump, dollars à l’appui.
Après avoir largement financé la campagne présidentielle de Trump en 2016, Adelson et son épouse ont remis la main à la poche pour les élections législatives de la semaine dernière(dites de « mi-mandat ») en donnant 113 millions de dollars (100 millions d’euros) aux candidats du parti de Trump, le Parti Républicain. Trump a également pu compter sur la générosité d’un autre méga-donateur juif, le patron de l’entreprise Blackstone Group, un certain Stephen Schwarzman, indique la journaliste.
Plus généralement, « les donateurs juifs ont été les principaux contributeurs aux élections de mi-mandat de 2018, notamment pour ce qui concerne les méga-donations, au Parti Républicain comme au Parti Démocrate », détaille-t-elle, sans nous renseigner, à aucun moment, sur les donateurs autres que juifs.
Pour les Démocrates, les contributions électorales sont un peu plus « démocratiques », puisqu’étant le fait d’un plus grand nombre de petits dons. Mais on y compte aussi des poids lourds, poids lourds juifs, éprouve encore le besoin de préciser Kaplan Sommer. Ainsi du magnat de la finance Tom Steyer, qui affiche 100 millions de dollars de dons au Parti Démocrate. Ainsi également de Michael Bloomberg, fondateur-propriétaire de l’agence d’informations économiques et financières éponyme, dont la fortune avoisine les 50 milliards de dollars.
L’homme, ancien maire de New York sous les couleurs du Parti Républicain, a changé de casaque et donné plus de 100 millions de dollars à des candidats Démocrates aux législatives qui viennent d’avoir lieu. Bloomberg est cité parmi les concurrents potentiels de Trump à la présidentielle de 2020. Le magnat de la finance Tom Steyer est crédité de dons d’un même montant, au profit du Parti Démocrate également.
Bloomberg n’est apparemment pas le seul magnat d’origine juive à se détourner du Parti Républicain à cause de la prise de pouvoir par Trump. C’est le cas des milliardaires Les Wexner, Seth Klarman, Paul Singer, ou encore Norman Braman, qui, à des degrés divers, ont cessé de soutenir massivement le parti du président.
Et puis, il faut aussi compter avec les donateurs d’origine juive fidèles de longue date du Parti Démocrate, tels les professionnels d’Hollywood Steven Spielberg, Jeffrey Katzenberg et Bill Maher, ou encore les financiers Donald Sussman et Jim Simons, sans oublier la bête noire de Netanyahou, George Soros.
Ce qui rend Trump de plus en plus dépendant d’Adelson, selon le Haaretz. Et par conséquent de plus en plus dépendant des dirigeants israéliens, pouvons-nous ajouter.
Source : https://www.haaretz.com/misc/article-print-page/.premium-adelson-reportedly-watches-election-with-trump-1.6632299
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