L’association caritative canadienne « Beth Oloth Charitable Organization » vient de se voir retirer le statut permettant à ses donateurs de déduire leurs dons de leurs impôts, en raison de son soutien à l’armée israélienne et à des projets dans les colonies.
Independent Jewish Voices Canada (IJV) se réjouit de cette décision du gouvernement canadien.
L’association juive concernée, en vertu des lois canadiennes, ne peut plus être considéré comme « caritative » et bénéficier de déductions fiscales, dans la mesure où les dons qu’elle recueille visent entre autres à « accroître l’efficacité des forces armées israéliennes’ et à financer des projets situés dans les territoires palestiniens illégalement occupés par Israël.
“Des donateurs bien intentionnés de la communauté juive seront sans doute surpris d’apprendre qu’ils ont contribué des activités illégales. La décision du gouvernement canadien nous permet de savoir que notre générosité est utilisée à bon escient », s’est également félicité le rabbin David Mivasair d’Hamilton, dans l’Ontario.
C’est désormais je Fonds National Juif (JNF ou KKL) qui fait l’objet d’une enquête de même type, étant donné qu’il est dans la même situation et finance avec ses dons l’armée israélienne ainsi que des colonies.
« Nous espérons que la campagne “Stop JNF Canada” portera enfin ses fruits après 4 décennies de plaintes et de rapports concernant le détournement de la loi canadienne par cette organisation », écrit Middle East Independent Jewish Voices, en soulignant que le JNF (KKL) interdit en plus aux Palestiniens d’accéder à leurs terres et organise leur déportation.
Source : Middle East Independent Jewish Voices Canada on January 28, 2019
(Traduit par CAPJPO-EuroPalestine)
Source : https://mondoweiss.net
– ET EN FRANCE ??
Gil Taiëb bien entouré
– Pour rappel, le gouvernement français ferme les yeux non seulement sur les fonds recueillis par ce même KKL, et lui accorde des déductions fiscales, mais il donne les mêmes privilèges à l’Association pour le Bien-Etre du Soldat israélien (ABSI)– un nom qui ne s’invente pas !– fondée et dirigée par Gil Taïeb.
Cette association, domiciliée au 78, avenue des Champs-Elysées, bureau 302. 75008 Paris, a publiquement pour objet : « mener en France et en Israël toutes les actions ou manifestations au profit de l’amélioration des conditions sociales, culturelles, éducatives et de loisirs des soldats israéliens, en dehors de la vie militaire ».
Son président, Gil Taieb, est également vice-président du Crif (au nom du Fonds social juif unifié), et soutien de la Ligue de défense juive (LDJ), ex-membre de la milice extrémiste « Bétar », et époux de l’élue PS Karen Taïeb. Monsieur Macron, qui impose des taxes à tout va, sauf aux riches, n’est pas avare quand il s’agit de renflouer cette pauvre armée israélienne sous-équipée, et la plus morale du monde, avec nos deniers ! CAPJPO-EuroPalestine
Gil Taëb au royaume de l’apartheid