La « Hold-up Nation », ambassadeur de l’Etat colonial, — dans le peloton de queue du Tour de France cycliste malgré les milliards de son sponsor–, a reçu partout l’accueil qu’elle méritait !
Et avant Lyon ce samedi, même Libération l’a relevé, la contestation face à la participation des représentants des criminels de guerre à des compétitions sportives, a été constante, malgré tous les moyens mis en oeuvre — sous couvert de coronavirus– pour l’empêcher !

Dans un article intitulé « Sur la route du Tour, Israel Start-Up Nation contestée par des militants pro-palestiniens », Romain Boulho, envoyé spécial de Libération sur la route du Tour écrivait mardi :
« L’équipe sponsorisée par le milliardaire Sylvan Adams, «ambassadeur» autoproclamé de l’Etat hébreu, participe à son premier Tour de France, déclenchant les critiques de militants BDS sur le bord des routes.
L’équipe Israel Start-Up Nation fait l’objet d’une contestation politique sur presque chaque étape de la part de militants pro-palestiniens. Le conflit au Proche-Orient s’invite ainsi sur un événement sportif et médiatique souvent propice aux revendications sociales, mais peu habitué au ciblage d’une équipe pour des raisons politiques. Les critiques ont débuté avant-même le départ de Nice le 29 août. Le maire LR de la ville, Christian Estrosi, s’était ainsi insurgé sur les réseaux sociaux contre les propos d’un collectif local relayés par Nice-Matin, qui déplorait la participation d’Israel Start-Up Nation au Tour, estimant qu’il s’agissait «d’une opération marketing pour faire oublier les crimes d’Israël».
Sur le Tour de France, Israel Start-Up Nation n’a pas encore remporté d’étape, et son meilleur coureur, l’Irlandais Dan Martin, est actuellement 44e du classement général, à plus d’une heure du Slovène Primoz Roglic. Et Guy Niv, premier Israélien à participer à l’épreuve, figure actuellement à la 84e position du classement !
Pour rappel, l’Afrique du Sud de l’apartheid, avait fini par être exclue de toutes les compétitions sportives. Exclue de la FIFA en 1976, puis d’un peu tous les stades, pour son équipe phare de rugby, les Springbox.
A voir, revoir et faire circuler sans modération :
CAPJPO-EuroPalestine