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En attendant la fumée blanche ou noire de la Cour Suprême, la sauvagerie israélienne égale à elle-même

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Les juges de la Cour Suprême israélienne ont apparemment du mal à décider s’ils vont se faire hara-kiri ou pas. En attendant, l’armée et la police de l’Etat colonial redoublent de sauvagerie dans l’ensemble de la Palestine occupée.

A Jérusalem jeudi , ils se sont mis à trois hommes armés de pied en cape, pour brutaliser un jeune homme, Ziad Abu Nab, juste avant de l’embarquer dans le quartier de Bab Al Amoud :

En attendant la fumée blanche ou noire de la Cour Suprême, la sauvagerie israélienne égale à elle-même

Et il ne fait pas de doute que les brutes ont ensuite continué à s’acharner sur lui, comme ils le font dans leurs véhicules et lors des interrogatoires .

Ils arrêtent aussi les femmes !

Les escadrons de la mort sont restés plus de 6 H à Beita, dans le Nord de la Cisjordanie, à envahir les rues et les maisons avant de commencer à se retirer :

  • Pour fêter le début de la nouvelle année juive, ils ont fermé depuis ce vendredi tous les checkpoints de Cisjordanie et de Gaza , allant vers Israël, restreignant ainsi sévèrement la liberté de circulation des Palestiniens
  • Un tribunal militaire a repoussé une fois de plus la décision de laisser ou pas Ahmed Manasra, incarcéré depuis 2 ans en confinement solitaire, dans une cellule isolée, alors qu’ils souffre de trouble psychiques graves, ayant été emprisonné et torturé par Israël depuis 2015, c’est à dire l’âge de 12 ans !

Actuellement, 170 enfants palestiniens sont emprisonnés par Israël, privés de leurs famille.

Des funérailles monstres se sont déroulées à Gaza ce jeudi pour les 5 victimes de la répression israélienne.

CAPJPO-EuroPalestine

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