Fier de lui, le porte-parole de l’armée israélienne a déclaré vendredi que ses avions avaient bombardé Gaza ces deux dernières semaines « à un rythme jamais vu depuis des décennies ».
Le bombardement de la population civile de Gaza, ses femmes, ses hommes et ses enfants, cela s’appelle un génocide.
Frappes de l’aviation israélienne contre l’église grecque-orthodoxe de Saint-Porphyre à Gaza : Selon le moine Mitri, pasteur de l’église de la Nativité évangélique, un premier bilan fait état d’au moins 40 Palestiniens de la communauté chrétienne tués, et malheureusement, des victimes sont toujours piégées sous les décombres.
Résultats des bombardements israéliens sur l’église grecque-orthodoxe de Saint-Porphyre à Gaza. Un premier bilan fait état d’au moins 40 Palestiniens de la communauté chrétienne tués, et des victimes sont toujours piégées sous les décombres. Environ 500 personnes se trouvaient à l’intérieur du complexe de l’église. L’ordre orthodoxe de Saint-Georges estime que le nombre de décès pourrait atteindre 150 victimes :
Et le crime, dont le bilan officiel avait atteint plus de 4.000 morts vendredi, sans compter les morts encore ensevelis sous les décombres, est publiquement assumé par cet officier, le général Daniel Hagari.
Au cours d’une conférence de presse, Hagari a non seulement indiqué par la vague meurtrière continuerait sans relâche sur le territoire martyr, mais qu’elle allait s’accentuer, avec les cargaisons supplémentaires de bombes que les États-Unis sont en train de livrer au régime de l’apartheid.
CAPJPO-EuroPalestine
