Les enfants palestiniens pleurent leur père, membre des équipes de défense civile de Gaza, qui a été tué aujourd’hui lors du massacre de Khan Younès par l’occupation israélienne.
Des enfants palestiniens pleurent leur père, membre des équipes de défense civile de Gaza, qui a été tué aujourd'hui lors du massacre de Khan Yunis par l'occupation israélienne.#Palestine_Genocide #PalestinianLivesMatter #PalestinianGenocide #SavePalestine… pic.twitter.com/8t8ywzZhak
— CAPJPO – EuroPalestine (@Europalestine1) July 14, 2024
Traduction : « Qui va me réveiller le matin pour la prière d’AlFajr maintenant papa ? Que Dieu t’accorde le paradis suprême papa. Oh père, pourquoi papa ? Tu étais beau comme la lune, et même maintenant tu es beau comme la lune. Que Dieu ait pitié de ton âme papa. Prions pour lui »
Merci Joe Génocide
Selon le journal israélien Ma’ariv, citant le directeur de la société de technologie militaire Asgard, les missiles utilisés samedi lors du massacre israélien de Mawasi Khan (qui abriterait plus de 80 000 civils déplacés) sont des JDAM de fabrication américaine. Cela confirme plusieurs informations selon lesquelles les États-Unis auraient autorisé il y a quelques jours le transfert de ces missiles vers Israël.
Après les massacres du camp de tentes de Al-Mawasi et de la mosquée d’Al-Shati pendant la prière, Israël a continué son génocide dans plusieurs autres régions.
L’artillerie de l’occupation israélienne a bombardé le quartier d’Al-Sabra, au sud de la ville de Gaza. Elles ont fait exploser des blocs résidentiels à l’ouest de la ville de Rafah. Et elles ont ciblé un immeuble résidentiel dans le camp de réfugiés d’Al-Nuseirat, au centre de la bande de Gaza.
« Ils nous bombardent quand on prie, quand on mange, quand on va chercher de l’eau, quand on fait la queue pour aller aux toilettes, quand on fuit, quand on cherche de l’ombre contre le soleil, et quand on va chercher un sac de farine. Ils continuent de nous bombarder, encore et encore ; et chaque fois qu’ils le font, le monde s’habitue davantage à l’idée de notre mort, et nous devenons comme si nous n’étions rien », écrit un Palestinien de Gaza.
« EVACUATIONS’
Amnesty International souligne par ailleurs que la multiplication des ordres d’évacuations équivaut à un transfert.
« Israël a intensifié le recours aux ordres d’évacuation jusqu’à un niveau dangereusement mortel, ecrit l’ONG, les utilisant désormais pour menacer de mort les civils palestiniens s’ils ne quittent pas leurs zones. Cela a été évident dans la région de Tal Al-Hawa, où les soldats israéliens ont exécuté des dizaines de civils dans les rues et à l’intérieur de leurs maisons dans des zones qui avaient reçu l’ordre d’évacuer « pour leur sécurité ».
CAPJPO-Europalestine
