Les procureurs britanniques ont heureusement abandonné le dossier contre l’universitaire Amira Abdelhamid, faute d’éléments probants contre elle.

Amira Abdelhamid, qui est originaire d’Egypte, avait été suspendue l’an dernier par l’université de Portsmouth, après sa publication sur X d’une série de messages concernant le 7 octobre, et des pressions du lobby israélien.
« Le cas d’Amira Abdelhamid est un exemple frappant de la façon dont les lois sur le contre-terrorisme, qui étaient profondément antidémocratiques et ont longtemps nui aux sauvegardes juridiques et aux libertés civiles, sont utilisées de manière agressive afin de réprimer la dissension politique et réduire ainsi au silence les personnes qui remettent ces mêmes lois en question », a commenté son avocat pour Middle East Eye.
CAPJPO-Europalestine