Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a demandé au ministère d’ouvrir discrètement des négociations avec les partis européens d’extrême droite, rompant ainsi avec la politique étrangère « officielle » israélienne.

L’annonce de cette entrevue n’est pas passée inaperçue, malgré la « discrétion » affichée. Jean-Noël Barrot, aurait exprimé un vif mécontentement. Il estime que cette rencontre pourrait être interprétée comme un soutien implicite à des positions qui, dans son esprit, ne devraient pas être défendues au nom d’intérêts nationaux. Il a ainsi dénoncé ce rapprochement, le qualifiant de « provocateur » et de « source de tension supplémentaire » dans un climat déjà fragile.
Mais pourquoi le parti de Macron, qui soutient l’occupant israélien, aurait-il le monopole des alliances avec des fascistes décomplexés ?
CAPJPO-Europalestine