Malgré les destructions généralisées et les violations quotidiennes du cessez-le-feu par Israël, tuant et blessant de nombreux Palestiniens de Gaza, plus de 150.000 élèves sont inscrits dans 165 écoles publiques à travers Gaza, après le lancement par le ministère de l’Éducation d’une année scolaire raccourcie le 23 février dernier.
Pour beaucoup d’autres, les cours se déroulent sous une tente avec des enseignants bénévoles.
Ainsi, l’enseignante palestinienne Asmaa Al-Najjar, 28 ans, qui a perdu l’un de ses enfants pendant le génocide,continue d’enseigner aux enfants sous une tente dans le camp de réfugiés de Jabalia.
Parfois, ce sont les parents eux-mêmes qui assurent l’éducation de leurs enfants avec le peu de moyens dont ils disposent.
A GAZA, C’EST TOUS LES JOURS L’ANNÉE DE LA FEMME !
Sous une tente dans la ville de Bani Suhaila, Khawla Al-Qara lutte pour aider ses quatre enfants à poursuivre leur scolarité dans des conditions de vie très difficiles. C’est un véritable défi qu’elle relève pour lutter contre l’ignorance dans laquelle Israël veut maintenir les enfants, déjà terriblement affectés psychologiquement par le génocide.
(Vidéo sous-titrée par Nj pour CAPJPO-Europalestine)
CAPJPO-Europalestine
