Plus de 30 manifestants pro-palestiniens de l’UCLA ont intenté une action en justice contre des responsables de l’université et des forces de l’ordre, les accusant de violations des droits civiques, d’arrestations injustifiées et d’usage excessif de la force lors des manifestations sur le campus de l’année dernière.

Déposée mercredi devant la Cour supérieure de Los Angeles, la plainte affirme que l’université est restée passive pendant que des contre-manifestants lançaient une « attaque collective brutale » contre le campement le 30 avril.
Les manifestants ont subi des fractures, des brûlures chimiques aux yeux et des violences sexuelles. Ils ont été frappés à coups de poing, à coups de barres métalliques et de planches de bois, et des engins incendiaires ont même été lancés dans leur campement. Pourtant, face à la terreur, les autorités sont restées inactives.
CAPJPO-Europalestine