Nesreen, une mère palestinienne, et ses deux filles, Sila et Rahaf, ont perdu leurs jambes lors d’un massacre israélien contre la famille Madi, qui avait trouvé refuge sous des tentes dans le quartier de Mawasi, à l’ouest de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza.

Nesreen risque de perdre toute sa jambe et risque une amputation complète malgré les efforts incessants des médecins pour la soigner.
Sa fille Sila a été amputée des deux jambes et son état de santé continue de se détériorer.
Sa sœur Rahaf a également été amputée de la jambe gauche et souffre d’un grave traumatisme. La famille se meurt lentement et a besoin de soins médicaux immédiats à l’étranger, alors que Gaza souffre d’une pénurie criante de fournitures médicales et de capacités d’accueil en raison du siège israélien et des attaques incessantes contre les hôpitaux.
C’est à hurler !
Mais ce sont les militant(e)s qui dénoncent ce génocide qui passent en procès pour « apologie de terrorisme » !
CAPJPO-Europalestine