Bloqués par la police de Sissi, le dictateur égyptien qui ose demander « d’accroître la pression sur Israël », mais réprime tout mouvement de solidarité avec le peuple palestinien, des centaines d’internationaux de la Marche pour Gaza résistaient vendredi soir à la répression.
Members from the Steadfastness Convoy heading to Gaza to break the siege are staging a sit-in at the Ismailia checkpoint, announcing they will spend the night in the streets in protest of their forced eviction. pic.twitter.com/zVzTfw7zRk
— Quds News Network (@QudsNen) June 13, 2025
Une importante délégation de militants grecs, face à la police :
Over 100 Greek humanitarians taking part in the #MarchtoGaza convoy say they are surrounded by Egyptian police and soldiers near Cairo city pic.twitter.com/GGCK7xzm0Z
— Sarah Wilkinson (@swilkinsonbc) June 13, 2025
La répression, en Égypte, a souvent un double visage : les policiers et militaires d’une part, mais aussi le recours à la pègre et aux bandes mafieuses quand le régime préfère ne pas apparaître en première ligne, comme ci-dessous
CAPJPO-EuroPalestine
