A commencer par les médicaments génériques de la firme israélienne TEVA, qui se trouvent maintenant dans l’oeil du cyclone, comme on peut en juger par les vidéos et posts de divers pays

En Italie, une médecin de famille et une infirmière travaillant à la Casa della Salute de Pratovecchio Stia (Arezzo), se sont filmées en train de rayer le nom Teva sur des boîtes de médicaments avant de les jeter à la poubelle.
La vidéo, geste de boycott contre la multinationale israélienne, est devenue virale et a déclenché une tempête médiatique.

Au Royaume-Uni :

BOYCOTT SPORTIF
Dernier exemple : l’équipe israélienne de Basket 3X3 de Ramat Gan a été exclue d’un Tournoi à Versailles, « pour des raisons politiques et de nationalité ».

Pour les responsables de l’équipe c’est un coup dur, car ce tournoi comptait pour les prochaines qualifications aux Jeux Olympiques de Los Angeles de 2028.
L’Association italienne des entraîneurs de football (AIAC) demande l’exclusion d’Israël des compétitions internationales en raison de la guerre à Gaza.
Dans une déclaration à l’approche des matchs cruciaux de qualification pour la Coupe du monde de l’Italie contre Israël dans les prochains mois, l’AIAC a déclaré : « Israël doit cesser. Le football doit également agir.»

L’association a adressé une lettre officielle à la Fédération italienne de football, demandant qu’elle soit transmise à l’UEFA et à la FIFA, exigeant la suspension d’Israël.
BOYCOTT CULTUREL ET ACADEMIQUE
Le boycott d’Israël se développe aussi dans les institutions universitaires et culturelles du monde entier, avec le génocide à Gaza.
De nombreuses universités européennes ont suspendu leurs collaborations de recherche et publié des déclarations refusant tout dialogue avec les institutions israéliennes. Plus de 6 000 écrivains, dont des lauréats de prix prestigieux, ont signé une déclaration appelant au boycott de l’industrie de l’édition israélienne, décrivant la situation comme une crise éthique, politique et culturelle sans précédent.

Le boycott a touché des institutions culturelles en Belgique, aux Pays-Bas, en Espagne, en Norvège, en Suisse et en Italie, et des partenariats et programmes de recherche avec des universités israéliennes ont été annulés ou interrompus.
CAPJPO-Europalestine