Au-delà de ses déclarations hallucinantes d’autosatisfaction, de félicitations pour son clan, mêlées de bible, de mensonges et d’envolées lyriques, Trump a certes tressé des lauriers au « grand homme » qu’est le génocidaire en chef, il l’a toutefois mis devant le fait accompli au parlement israélien ce lundi, ne cessant de répéter que la « guerre est finie », ajoutant même que ces tueries avaient été « inutiles ».

Trump a senti le vent du boulet grâce à la formidable résistance des Palestiniens, qui a entraîné celle des foules dans le monde entier, y compris dans son pays, les Etats-Unis.
Ainsi, Netanyahou avertissait dimanche : « La guerre n’est pas terminée – les ennemis se regroupent pour de nouvelles attaques ». Et lundi, il était obligé d’admettre devant tous : « La guerre est terminée ».
Ce qui ne préjuge bien entendu ni du retrait total de l’armée israélienne, encore moins de la levée du blocus, pour ne pas parler de la poursuite de la colonisation en Cisjordanie, au Liban et en Syrie.
Seule la pression de l’opinion publique internationale, dont les boycotts massifs, permettra de battre en brèche la colonisation israélienne et de parvenir à l’autodermination de la Palestine.

CAPJPO-Europalestine