Les équipes du CICR (Comité International de la Croix-Rouge) travaillent à la localisation des dépouilles des 18 otages israéliens (morts sous les bombes israéliennes pour la majorité sinon la totalité d’entre eux) non restituées à Israël. Et il ne s’agit pas de leur en faire le reproche.
ICRC follows the search for bodies of Israelis, who were murdered by #Israel in #Gaza, while 10,000 Palestinians are still under the rubble, without heavy machinery tools to search for them. pic.twitter.com/fxZt5we1ks
— Palestine Info Center (@palinfoen) October 17, 2025
Mais ce qui est choquant, très choquant même, c’est que les survivants palestiniens de Gaza sont contraints de regarder les bulldozers dirigés par le CICR, alors qu’eux-mêmes sont dépourvus de pratiquement tout équipement lourd pour tenter de retrouver les dépouilles de plus de 10.000 disparus, écrasés par les bombes du régime génocidaire.


Et c’est souvent à mains nues que des Palestiniens désespérés doivent s’atteler à cette mission impossible. Depuis l’entrée en vigueur du « cessez-le-feu » (avec quand même 28 habitants tués par le feu israélien), moins de 300 corps de femmes, d’enfants et d’hommes palestiniens ont été dégagés des décombres.
Et nos merdias ? Eh bien, ils parlent des 18, pas des 10.000 !

CAPJPO-EuroPalestine