Merci aux militants belges de PourlaPalestine.be qui ont traduit ce témoignage intéressant, recueilli par David Sheen, d’Israéliens juifs éthiopiens qui refusent de faire leur service militaire en raison du racisme institutionnalisé qui règne dans la société israélienne à l’encontre des Noirs. Un racisme qui n’est pas surprenant dans une société qui passe son temps à déshumaniser et opprimer des millions de Palestiniens !
Ces deux Palestiniens non seulement ne se nourrissent plus depuis 80 et 81 jours pour protester contre leur détention « administrative », mais ils viennent également de cesser de boire après que la Cour Suprême israélienne ait rejeté leur appel.
Dans toute la Palestine, qu’il s’agisse de la Cisjordanie pour faire de la place aux colons ou dans la bande de Gaza pour détruire les terres agricoles, les bulldozers et tanks israéliens sont à l’oeuvre quotidiennement. Et nous appellerons au boycott d’Israël tant que cela durera, que cela plaise ou non au CRIF et à ses acolytes.
La grande démocratie israélienne qui pratique quotidiennement la torture sur les Palestiniens, y compris les enfants, a refusé de prendre en considération le millier de plaintes pour torture, déposées par des victimes palestiniennes.
Le déficit de la balance commerciale israélienne a atteint 28,9 milliards de shekels (quelque 7,5 milliards d’euros) depuis le début de l’année, contre 4,5 milliards de dollars (environ 1,1 milliard d’euros) au cours de la même période l’an dernier, indique le magazine Globes.
Saleh s’est vu décerner un diplôme pour avoir réussi à s’emparer d’une caméra et à filmer les soldats d’occupation dans son village de Tel Rumidah, près d’Hébron, alors qu’ils avaient enfermé son père pour l’empêcher d’aller faire un reportage sur l’assassinat de Mohammad Alrajabi au checkpoint in Tel Rumidah.
Reportage de Sarah Algherbawi publié par Electronic Intifada.
Ci-dessous la pétition lancée en soutien à Richard, un militant de l’UJFP (Union Juive Française pour la Paix) de Metz, appelé à comparaître devant un tribunal le 24 janvier prochain, pour avoir conseillé à des pharmaciens de sa ville de ne pas se fournir en médicaments génériques de la firme israélienne TEVA, compromise avec l’occupation et la colonisation israélienne.
Bilal Kayed, qui avait fait une grève de la faim de 71 jours pour protester contre une prolongation de sa sentence après 14 ans et demi de prison, a été libéré lundi soir.
Il y a de nombreux demandeurs d’asile, notamment africains, qui croupissent dans les prisons israéliennes depuis des années, parce qu’ils n’ont pas de papiers, ou que leur pays refuse de les accueillir, ou encore parce que leur pays d’origine n’a pas de représentation diplomatique en Israël, révèle un rapport publié par Haaretz.
