BDS plus que jamais : l’intimidation ne marche pas ! (Vidéo)
CAPJPO-EuroPalestine
Pendant que le gouvernement français ne parvient pas à se dépétrer de ses déclarations sur son attachement à la liberté de circuler en Palestine, assorties d’un appel à ne pas aller en Cisjordanie, le Syndicat Sud Aérien se positionne clairement en faveur du droit.
L’attelage formé par le gouvernement français et le lobby israélien pour criminaliser la campagne BDS vient de subir un nouvel échec, devant la Cour d’Appel de Paris.
« Israël rompt les ponts avec le Conseil des droits de l’homme », ont titré certains médias quand Israël a annoncé la semaine dernière avoir « rompu tout contact » avec le Conseil des Nations unies pour les droits de l’homme (CDH), parce que celui-ci avait décidé d’ouvrir une enquête internationale sur les colonies israéliennes dans les territoires palestiniens. Quelles conséquences en ont tiré nos gouvernements, l’Europe, l’ONU ? Aucune ?
Le ministère des Affaires étrangères vient de « rafraîchir » son site de « conseils aux voyageurs » en mettant en garde contre « des risques d’incidents et de débordements à l’aéroport Ben Gourion à partir de dimanche 15 avril prochain, dans le cadre de l’initiative ‘Bienvenue en Palestine’ prise par certaines associations ».
Depuis sa cellule dans une prison israélienne, l’une des figures les plus respectées de la politique palestinienne a appelé lundi à une nouvelle vague de résistance civile dans sa lutte vieille de plusieurs décennies pour l’indépendance. Il a également appelé à couper tous les liens avec Israël.
(Article reproduit à partir du site info-palestine.net)
Le militant britannique George Galloway, cible de tous les tirs pour son opposition aux guerres d’Irak et d’Afghanistan, ainsi que pour son soutien assumé à la cause du peuple palestinien, a obtenu jeudi un succès électoral aussi inattendu qu’incontestable.
Après de nombreuses actions des militants norvégiens, VITA, principal distributeur de AHAVA en Norvège, ainsi que Norgesgruppen, société qui possède 49 % des parts dans VITA, ont rendu publique leur décision de renoncer à acheter ou vendre ces cosmétiques fabriqués dans une colonie israélienne.
C’est ce que la prisonnière semble avoir « accepté » après « négociations » avec les autorités palestiniennes, annonce l’agence de presse palestinienne Maan.