Un rapport publié par l’Organisation internationale de défense des enfants, Defence Children International, montre une fois de plus que l’armée et la police israéliennes se livrent à des tortures sur les enfants palestiniens qu’ils arrêtent.
Bravo à Mourad Kassa qui vient de réaliser un film décapant, interpellant Sarkozy sur la « voix de la France », les mensonges d’Etat, le soutien au terrorisme d’Etat israélien, de même que le chantage à l’antisémitisme.
Nouvelle ignominie dénoncée par le Syndicat de la Magistrature : les mesures pétainistes annoncées par Eric Besson pour lutter contre les couples mixtes, qualifiés de « mariages gris ».
Haidar Eid, analyste politique indépendant, professeur au Département de Littérature anglaise à l’Université Al-Aqsa à Gaza et l’un des membres du Comité d’organisation de la Marche Pour Gaz, en envoyé cette belle et bonne lettre au président américain.
La Chambre des Députés du Luxembourg vient de voter à l’unanimité une motion sur le conflit israélo-palestinien, qui se démarque des positions des dirigeants européens dans ce domaine.
Rien ne va plus. Le gouvernement israélien a décidé de sévir contre tous ces petits malins, et surtout les malines, devenues, très nombreuses, qui ont trouvé une bonne combine pour échapper aux 2 ans d’armée (d’occupation) : se déclarer « religieux ».
Rien ne va plus : même les Iles Salomon se démarquent d’Israël !
Israël doit mettre fin au blocus de Gaza, aux expulsions, et aux violences contre les enfants, a déclaré le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon dans le rapport annuel rendu public cette semaine.
Un an après l’attaque israélienne de l’hiver 2008/2009, les citoyens français sont invités à manifester leur solidarité avec la population de la bande de Gaza en apportant sur la place publique un échantillon ou un emballage vide pour réaliser une pyramide des produits interdits d’entrée par l’armée israélienne.
La presse fait régulièrement état des brimades subies par la population palestinienne aux centaines de points de contrôles et barrages routiers qui parsèment la Cisjordanie occupée. Combien de fois avons-nous lu ces récits de femmes accouchant sur le bas côté de la route, de malades empêchés par les soldats israéliens d’être rapidement transférés vers une clinique ou un hôpital ? Deux réalisatrices britanniques, en transposant cette réalité dans un contexte familier, donnent à ressentir cette violence au quotidien.
