Des milliers de cochons, de rats et de moutons, utilisés comme cobayes par l’industrie militaire israélienne, meurent dans de grandes souffrances, s’émeut la presse israélienne, qui ne dit pas un mot sur les mêmes tests pratiqués sur des êtres humains, les Palestiniens….
Le mannequin international n’a pas hésité à s’afficher sur Instagram, où elle a 2,9 millions d’abonnés, avec ce sac.
Les partis du « Forum de la gauche arabe » au Liban ont organisé, mercredi soir, un sit in près des bureaux des Nations Unies à Beyrouth afin d’exprimer leur « condamnation de l’élection du représentant de l’entité israélienne comme président de la sixième commission de l’ONU chargée des affaires juridiques, dont la lutte contre le terrorisme et la colonisation. »
Le président du conseil des rabbins de Cisjordanie (sic), Shlomo Mimad, a appelé dimanche les colons à empoisonner les Palestiniens par le biais de leurs ressources en eau.
Alain Jochimek, directeur général de Lycamobile et représentant du Crif auprès de la haute fonction publique israélienne, a été mis en examen dans une affaire de blanchiment d’argent lié à la criminalité. « Pas un mot dans la presse écrite et audiovisuelle de l’Hexagone », fait remarquer Hicham HAMZA, dont nous reproduisons l’article ci-dessous.
Eh non, Tair Kaminer ne veut toujours pas servir dans une armée d’occupation et elle le dit haut et fort, ce qui lui vaut de retourner pour la 6ème fois en prison où elle a déjà passé 125 jours.
Parmi les tortures et châtiments collectifs infligés aux Palestiniens, cette pratique israélienne de plus en plus courante : ne pas restituer à leurs familles les corps de leurs proches tués par l’occupant. Mardi ils étaient nombreux à manifester devant la morgue de Jaffa pour réclamer qu’on leur rende leurs enfants.
Mahmoud Badran, 15 ans, est mort et quatre autres Palestiniens ont été blessés aux premières heures de mardi par des tirs de soldats israéliens déployés sur la route 443, en Cisjordanie occupée. Une « bavure » selon l’armée la plus équipée et la plus « morale » que soutient notre gouvernement.
Ah s’il avait été israélien, la presse de révérence se serait déchaînée, mais Arif Jaradat, 23 ans, était du village de Sair, près de Hébron, et c’est donc dans le plus grand silence qu’il a pu être assassiné par l’armée d’occupation.
Des extrémistes israéliens ont visité lundi l’esplanade des mosquées alors que le gouvernement israélien interdit son accès à un dirigeant du Fatah de Jérusalem Est.
