Gaza : comment peut-on tolérer cela ?
Le camp de concentration est toujours fermé et ses 1, 7 million de femmes, d’hommes et d’enfants sont toujours privés de tout, et notamment d’électricité. Les eaux d’égout commencent à envahir la ville. Amir Hassan, écrivain palestinien, nous transmet un poème de triste circonstance.