Trois raids aériens israéliens dans la bande de Gaza ce samedi matin ! Alors que le gouvernement israélien est cité par nos médias comme un modèle de « rigueur » en matière de lutte contre l’épidémie de covid-19, avec ses méthodes d’espionnage des citoyens, et la mobilisation de son armée, on voit à quoi celle-ci s’occupe pendant le confinement !
Même si vous avez une imprimante HP, vous n’êtes pas obligés d’utiliser les cartouches d’encre (et c’est ce qui leur rapporte le plus) de cette marque qui contribue à la colonisation et à l’occupation de la Palestine et au maintien de l’apartheid.
Entretien avec un médecin à la retraite qui a travaillé dans l’industrie pharmaceutique et qui décrit bien les processus de développement et vente des médicaments dans notre système.
A noter que l’entretien date du 23 mars et qu’entre temps le gouvernement, après avoir proclamé que cela ne servait à rien ou même que c’était dangereux, a autorisé jeudi soir l’administration au sein de tous les hôpitaux du traitement préconisé par le Pr. Didier Raoult, et promet de multiplier les tests…
« La solidarité à Gaza se renforce dans le contexte de confinement », tient à souligner Ziad Medoukh.
Coronavirus ou pas, les exactions criminelles d’Israël se poursuivent au quotidien : l’armée du régime d’apartheid vient ainsi de détruire un bâtiment en dur et volé des tentes et l’équipement des habitants du village d’Ibziq, dans la Vallée du Jourdain (Cisjordanie occupée), selon une dépêche de l’agence de presse palestinienne Wafa.
Sept nouvelles personnes ont été infectées par le coronavirus dans la bande de Gaza, rapporte Ziad Medoukh.
Le Président de la République a eu le culot mercredi soir d’annoncer, avec des trémolos dans la voix, toute sa reconnaissance au personnel soignant, ainsi qu’un « vaste plan d’investissements » dans le secteur de la santé.
Les deux millions d’hommes, de femmes et d’enfants palestiniens du camp de concentration de Gaza sont totalement démunis face au risque du coronavirus, et leurs dirigeants en appellent à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS, WHO) pour l’envoi d’urgence d’un minimum de matériels.
“J’ai eu l’impression de me retrouver dans un film d’horreur ». C’est en ces termes qu’Ibrahim Abou Safiya décrit l’instant où il a aperçu un homme se traînant au sol, à côté d’un check-point de l’armée israélienne à l’entrée du village de Beit Sira, un peu à l’ouest de Ramallah en Cisjordanie occupée.
Et voilà maintenant que l’on nous demande de nous cotiser pour pouvoir acheter des respirateurs et procurer des moyens de protection aux soignants ! Quelle honte !
Pourquoi ne vient-on jamais nous faire la quête pour les drones, les essais nucléaires ou les « opérations militaires sur des champs extérieurs » ?
Ci-dessous le message envoyé mardi à nos nombreux sympathisants à propos de la politique gouvernementale face au covid19.
