Rien qu’à Gaza, 19 Palestiniens on perdu un oeil, et 2 d’entre eux ont perdu les deux yeux pendant les « Marches du Retour », rapporte l’association israélienne B’Tselem.
L’équipementier allemand PUMA, sponsor de l’équipe nationale israélienne de football, et cible de ce fait d’une campagne internationale de Boycott, commence à en sentir les effets.
Middle East Eye donne la parole à trois jeunes juifs américains, et cela montre l’écart qui se creuse entre le lobby israélien aux USA et les Juifs de la jeune génération.
Corona virus certes. Mais pendant ce temps, on ne parle ni des attaques monstrueuses contre les Palestiniens à coups de bulldozers, ni des bombardements répétés sur la population de Gaza toujours enfermée à double tour dans son ghetto, ni des appels au secours des habitants de la Vallée du Jourdain en train d’être expulsés. Alors, à nous de prendre la parole ! Et nous le ferons avec vous ce samedi 29 février à partir de 15 H à la Fontaine des Innocents à Paris.
Il allait s’acheter un sandwich et des bonbons, en sortant de l’école, dans le quartier de Issawiya à Jérusalem Est, quand la police « des frontières » lui a tiré une balle dans l’oeil…
Le candidat à la présidentielle états-unienne Bernie Sanders a annoncé mardi soir qu’il envisageait, s’il est élu en novembre prochain, d’annuler la décision illégale de transfert de l’ambassade à Jérusalem prise par Trump il y a deux ans, et de ramener la représentation de son pays à Tel Aviv.
A Hébron/Al Khalil, personne n’a oublié : 29 Palestiniens en prière tués et 150 autres blessés par un colon, Baruch Goldstein, dont la tombe et le terrorisme, sont honorés à cette date, comme chaque année, par les autres colons de cette ville palestinienne martyrisée.
Contrairement à la légende, les régimes arabes ont toujours placé leurs intérêts personnels avant ceux du peuple palestinien, comme l’illustre cet article de Joseph Massad, Professeur de Politique Arabe moderne à l’Université de Columbia, à New York.
Israël a tout à cacher de la manière dont elle maltraite les enfants palestiniens. Du coup, elle entrave par tous les moyens le travail de la section palestinienne de l’association internationale Defense for Children International (DCI). Son directeur nous alerte sur les dernières avanies subies, en l’occurrence, l’impossibilité d’aller présenter un rapport sur la situation des enfants palestiniens aux membres du Conseil de sécurité des Nations Unies !
Vu d’ici, rien ne ressemble plus à un bombardement de Gaza qu’un autre bombardement. On a du mal à imaginer ce que représente la vie des Gazaouis, enfermés, sous une avalanche de bombes israéliennes. Ce lundi soir encore.
