« À une époque où toute remarque sexiste adressée à une femme peut conduire à une émeute, la torture lors des interrogatoires ou les incarcérations totalement injustes de femmes ne fâchent personne », dénonce Gideon Levy*, à propos de femmes palestiniennes torturées.
Accusée d’être antisémite par Israël, pour avoir annoncé l’ouverture d’une enquête sur les crimes israéliens contre les Palestiniens, la procureure générale de la Cour Internationale de Justice (CPI) dénonce une telle accusation.
Pendant que les partis israéliens préparent leur petite campagne électorale pour savoir lequel des criminels de guerre sera premier ministre, Netanyahou, continue à avancer son meilleur et seul argument électoral : pas de trêve, en ce qui concerne les persécutions contre les deux millions d’habitants de la bande de Gaza.
Bravo à nos amis britanniques d’avoir amené le FC de Liverpool à refuser l’offre de sponsoring de PUMA, l’équipementier sportif qui parraine l’équipe de foot israélienne !
La marine de guerre israélienne a tiré 347 fois sur des pêcheurs gazaouis en 2019, et l’occupant a changé 20 fois les règles concernant l’accès des pêcheurs à leurs eaux territoriales !
Le prisonnier politique palestinien Ahmad Zahran a annoncé une victoire dans sa grève de la faim, qui durait depuis quasiment 4 mois : sa détention « administrative » prendra fin le 25 février, annonce Samidoun.
Après une tournée historique, le groupe Karmel Japha, revient –comme Renaud, mais moins décrépit… Il suffit de remplacer « Valls » et « Hollande » par « Macron » et « Castaner ». Petit cadeau de Nouvel An !
Le Collectif Ni Guerres ni Etat de Guerre, dont CAPJPO-EuroPalestine est membre, appelle à un rassemblement samedi 25 janvier à Paris (14 heures, Fontaine des Innocents, Métro/RER Châtelet-Les Halles), dans le cadre de la journée mondiale « No War on Iran », initiée par une vaste coalition outre-Atlantique.
Ahmed Zahran, 42 ans, Palestinien de Ramallah, poursuit sa grève de la faim depuis 115 jours, pour protester contre sa détention administrative arbitraire, c’est à dire sans la moindre inculpation, ni procès.
La plus haute juridiction administrative française, le Conseil d’Etat, vient à son tour, après la justice européenne, de confirmer l’illégalité de l’étiquetage de la mention « Made in Israel » sur les produits alimentaires du régime colonial.
