La « grande démocratie israélienne » a révoqué le visa d’Omar Shakir, directeur de Human Rights Watch (HRW) en Israel et en Cisjordanie occupée, et demande son expulsion, en raison de ses opinions favorables au mouvement BDS.
Après les avoir fait venir et les avoir exploités, Netanyahou est en train de déporter des travailleuses et travailleurs philippins, entrés en toute légalité dans le pays, pour les punir d’avoir mis au monde des enfants en Israël.
Les nouvelles parlementaires élues au congrès américain et qui font de la résistance en défendant le droit d’appeler au boycott d’Israel, viennent de marquer un point : les autorités israéliennes, malgré la loi qu’elles ont fait voter, déclarent qu’elles pourront rentrer en israël et en Palestine occupée.
Ce lundi à l’aube, après un avis favorable des tribunaux israéliens, les forces d’occupation ont commencé à détruire des logements du quartier de Wadi Hummus, soi-disant trop proches du Mur d’annexion, et à en expulser les habitants palestiniens.
Israël refuse de délivrer des permis de travail aux universitaires internationaux travaillant dans des universités palestiniennes en Cisjordanie occupée et durcit sa politique en matière de visas, ce qui les force à abandonner leurs étudiants et à quitter le pays.
Les escadrons de la mort, ces snipers israéliens qui ont carte blanche pour tuer et handicaper à vie hommes, femmes et enfants, ont blessé y compris des secouristes et des journalistes ce vendredi.
Le nouveau ministre israélien de l’éducation a comparé les mariages mixtes à l' »Holocauste »…
Les villageois de Kafr Qaddum, en Cisjordanie occupée, sont encore sous le choc après qu’un enfant de 10 ans a reçu une balle dans la tête, tirée par un sniper israélien.
Les rabbins israéliens harcèlent les immigrants de l’ex-Union Soviétique, exigeant de ces derniers qu’ils apportent une « preuve génétique » qu’ils sont effectivement « juifs », rapporte le quotidien Yedioth Ahronot.
Trois ans après la mort d’Adama Traoré, le comité Vérité et Justice pour Adama organise une nouvelle marche à Beaumont-sur-Oise. Il appelle à se réunir, le samedi 20 juillet, pour lutter contre « la violence d’État auparavant réservée aux quartiers populaires [qui] se généralise à toute la société ».
