Avec l’autorisation d’Israël, qui lui dicte ses ordres, le dictateur égyptien qui n’a fait que renforcer le blocus de Gaza de son côté, annonce, magnanime, qu’il va ouvrir sa frontière côté Rafah pendant le mois de Ramadan, pour les blessés ne pouvant être soignés à Gaza. Et ensuite, retour vers la mort lente dans le ghetto de Gaza ?
Nous apprenons ce soir que le jeune Mohammad Tamimi, dont l’armée israélienne avait défoncé le crâne en lui tirant une balle dans la tête il y a 5 mois, vient d’être enlevé par Israël !
A voir ci-dessous, l’implacable réquisitoire prononcé au parlement fédéral par le député du Parti du Travail de Belgique (PTB) Raoul Hedebouw, contre la barbarie du régime d’apartheid et la complicité criminelle de son propre gouvernement.
Le Ramadan n’empêche pas les mobilisations pour la Palestine de se poursuivre. Et nous continuerons à exiger des sanctions contre la barbarie du régime colonial israélien.
Jean-Pierre Filiu relève dans son blog sur Le Monde, que Netanyahou a déroulé le tapis rouge à des antisémites américains notoires, à l’occasion du transfert de l’ambassade étatsunienne à Jérusalem. Ce qui montre toute l’hypocrisie de la « lutte contre l’antisémitisme » dans nos différents pays. Pour Israël, on peut être antisémite, à condition d’être sioniste, c’est à dire d’approuver les crimes israéliens contre les Palestiniens.
Quelle grande chaîne de télévision va nous montrer ces images odieuses des soldats israéliens s’acharnant sur des ambulanciers en train de traiter des blessés lors des manifestations en Cisjordanie occupée ?
La journaliste israélienne Amira hass, denonce dans Haaretz le « mépris » des Israéliens qui affirment que c’est le Hamas qui envoie les Gazaouis se faire tuer, « comme si le blocus qui leur est imposé par Israel ne les condamnait pas à une mort lente. »
En langage simple, le blocus de Gaza, dont les journalistes se refusent de parler, c’est quoi ?
Le député communiste de Seine-Maritime Jean-Paul Lecoq a reçu comme il le méritait le président du Parlement israélien Yuli Edelstein, scandaleusement invité mercredi par la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale.
« Les soldats israéliens m’ont tiré dessus, aux deux jambes pendant que je soignais des manifestants à Gaza lundi dernier ».
