L’armée israélienne met en application les nouvelles directives du fasciste Lieberman qui a ordonné de terroriser les Palestiniens des zones qui résistent à l’occupation. Elle a envahi dimanche le domicile d’une famille de Sair, près d’Hébron et menacé d’enlever un bébé de 10 mois pour faire un exemple dans la région.
L’armée d’occupation a attaqué vendredi, à coups de grenades lacrymogènes, les manifestants qui protestaient contre la confiscation de leurs terres de Qafr Qaddum (village près de Naplouse), n’épargnant pas un journaliste bien visible qui a été blessé.
Yara, fille de Ayman Al-Sharabati emprisonné par Israël depuis 18 ans, a pu pour la première fois de sa vie, embrasser son père cette semaine.
Des bulldozers israéliens sont rentrés dans le camp de réfugiés d’Al-Bureij à Gaza ce mercredi matin et ont détruit des récoltes dans la région centrale de Deir El Balah, tandis que l’aviation israélienne larguait des drones sur cette zone près de la frontière et ouvrait le feu, sans cible particulière.
Des parlementaires européens ont accepté de poser derrière des barreaux pour évoquer la situation des prisonniers politiques palestiniens dans les geôles israéliennes. Leurs photos seront exposées au parlement européen du 5 au 9 septembre prochains.
Israel a fait fermer une nouvelle radio près d’Hébron après un raid de son armée, violant une fois de plus la liberté de la presse.
Le chef de la police israélienne Roni Alsheikh prétend justifier « scientifiquement » le traitement discriminatoire réservé aux citoyens d’origine éthiopienne, en particulier les jeunes.
Leur avocat est formel : deux jeunes palestiniens de 16 et 17 ans, qui avaient jeté de petits cailloux en l’air, près de chez eux, ont été arrêtés, détenus et torturés.
L’armée israélienne ne s’est pas contentée de détruire 8 structures, dimanche matin, dans le village de Maazi Jaba (district de Jérusalem), elle a forcé les résidents à détruire eux-mêmes leurs biens.
Les enfants de l’école primaire de Yabad, au sud de Jénine, ont eu droit à un raid et des frayeurs dès le premier jour de leur rentrée scolaire : pas de trêve pour les brutes de l’occupation, et pas besoin de motifs particuliers pour agresser les enfants palestiniens.
