La guerre contre l’Afghanistan et ses débordements pakistanais
« Attentat à Islamabad : Pourquoi l’hôtel Marriott ? », interroge Tariq Ali, qui analyse la manière dont les Etats-Unis exportent la guerre dans toute la région.
« Attentat à Islamabad : Pourquoi l’hôtel Marriott ? », interroge Tariq Ali, qui analyse la manière dont les Etats-Unis exportent la guerre dans toute la région.
Naplouse : Une nouvelle livraison de savons, à l’unité et en coffrets, avec des parfums enchanteurs (miel, rose-safran, canelle et sésame) vient d’arriver, accompagnée de pots de Zhourate, boisson relaxante et savoureuse consommée par tous les Palestiniens depuis des générations pour entretenir leur capital santé. Passez commande sans plus tarder !
Une vingtaine d’ONG internationales, dont Care et Oxfam, publient ce jour un rapport pour signaler que « le Quartet pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Union européenne, Russie, ONU) ne parvient à améliorer ni les conditions de vie des Palestiniens, ni les perspectives d’aboutir à la paix », et l’exhorte à « aller au-delà de la rhétorique et à prendre des mesures concrètes pour que les autorités israéliennes respectent leurs obligations internationales ».
Raji Sourani, directeur du Centre Palestinien pour les Droits de l’Homme (PCHR) de Gaza s’est vu refuser cette semaine, par Israël un permis de sortie de la Ville de Gaza, pour aller assister à une importante conférence sur les Droits de l’Homme, à Bruxelles.
Mariam Ayyad, Palestinienne de 60 ans a été tuée dans sa maison d’Abou Dis (près de Jérusalem) à l’occasion d’un raid de la « police des frontières » israélienne. La veille un enfant de 14 ans était assassiné par des soldats israéliens à Asira al Kabalya, tandis que dans le courant de la semaine passée, des colons israéliens ont blessé au moins 8 Palestiniens dans la même localité du nord de la Cisjordanie.
Deux témoignages israéliens de la politique et de la mentalité anti-arabe en Israël, enrichies par de nouvelles lois permettant de faire sauter le mince vernis démocratique constitué par la Cour Suprême. Le tout dans une période de « calme », comme le soulignent les auteurs, c’est à dire d’absence de réactions au terrorisme israélien.
Entre les affaires d’agressions « antisémites » qui ne sont pas antisémites, mais qui font grand bruit quand même à chaque fois, le cas du Grand Rabbin de Bordeaux, Marc Krief, 49 ans, condamné à trois mois de prison avec sursis pour avoir exercé des violences sur sa femme, n’a pas fait couler beaucoup d’encre.
Autre chapitre de la déontologie et de la politesse de la police française (qui va donner des « leçons de courteaoisie » à la police afghane : le footballeur ghanéen John MENSAH, qui joue dans l’Olympique Lyonnais, a été victimes de violences policières et placé en garde à vue lors d’un contrôle de police de routine.
Certains journalistes israéliens s’énervent devant tant d’exactions, de mensonges et tant d’impunité de la part de l’appareil d’Etat israélien, soulignant « à quel point la culture du mensonge s’est enracinée, infiltrée au cœur du pouvoir », et aussi à quel point l’opinion publique israélienne laisse faire, imperturbable. Quelques exemples.
Après le licenciement de Richard Labévière de RFI pour « faute professionnelle » totalement bidon, c’est au tour de Bertrand Coq, rédacteur en chef et de Grégoire Deniau, directeur de la rédaction de France 24 de faire les frais de la dictature qui règne dans l’audiovisuel français sous la houlette de Alain de Pouzilhac et Christine Ockrent-Kouchner.