– LIVRES ET CONFERENCES-DEBAT – Samedi 28 septembre à 17h30 à la Librairie Résistances à Paris Serge NEGRE présente « De la Terre sainte à la Palestine » : un ouvrage de photographies abordant la continuité historique et sociale de la Palestine Un livre co-écrit avec Danielle AUTHA, publié avec l’Institut des Etudes Palestiniennes de Ramallah, préfacé […]
Jeune écrivain gazaoui, Amir a fini par arriver en France la semaine dernière, après un parcours du combattant. Il témoigne dans cette interview de la gravité de la situation à Gaza, plus que jamais étranglée.
Pétition lancée aux Etats-Unis, et demandant au gouvernement égyptien d’ouvrir le passage de Rafah, à la frontière entre Gaza et l’Egypte
« Alors que l’usage d’armes chimiques en Syrie occupe la communauté internationale, la justice française va enquêter sur les sociétés qui ont fourni à Saddam Hussein les gaz qui ont été utilisés lors du génocide des Kurdes irakiens d’Halabja, en 1988 », indique Mediapart.
Nous reproduisons ci-dessous l’article de Haidar Eid, publié par info-palestine.net et qui relate le harcèlement des Gazaouis par la police ou l’armée égyptiennes, ainsi que la terrible campagne de diabolisation des Palestiniens lancée par les militaires au pouvoir.
Après la mort d’un gradé israélien, qui aurait été tué par un Palestinien, dans la ville palestinienne d’Hébron occupée, un véritable blocus de toute la ville a été effectué, empêchant y compris les ambulances de transporter des femmes enceintes devant accoucher en urgence.
Israël crie à la provocation et « envisage l’expulsion » de la diplomate française Marion Fesneau-Castaing qui a osé apporter de l’aide humanitaire à des Palestiniens en Cisjordanie.
Les agences de presse relaient la mort d’un soldat israélien tué par un palestinien à Kalkilya, dans le Nord-Ouest de la Cisjordanie, mais sans se poser de question sur la présence de ce soldat sur une terre qui n’est pas la sienne et alors qu’Israël prétend avoir construit un « mur de séparation » pour se protéger.
Un ouvrier du bâtiment palestinien, qui travaillait depuis 20 ans en Israël pour nourrir sa famille à Naplouse, a été porté et laissé mourir sur un trottoir de Tel Aviv par son patron, alors qu’il venait d’avoir une crise cardiaque. Lire l’éditorial du quotidien Haaretz.
Nous avons vu des juges et même des procureurs courageux, résistant à des ordres injustes et aberrants de leur hiérarchie en ce qui concerne les appels au boycott de l’occupant israélien. On ne peut pas en dire autant des magistrats du tribunal d’Alençon, qui viennent de rendre un jugement totalement incohérent.
