Lieux saints annexés par Israël : le gouvernement français s’assoit sur le droit international
Israel annexe des lieux saints en Palestine et le gouvernement français s’écrase… comme d’habitude.

Israel annexe des lieux saints en Palestine et le gouvernement français s’écrase… comme d’habitude.
Samedi 27 février, des milliers de personnes manifesteront à Paris (dans
le cadre de la semaine anticoloniale) et à Donzère dans la Drôme pour
exiger la suppression du Ministère Besson.
Madame Alliot-Marie s’est fait des amis ! Martine Sevegrand, historienne, annonce elle aussi : « Oui, je boycotte les produits israéliens et j’appelle à leur boycott ».
Christine Coulon, tête de liste unitaire anticapitaliste, antilibérale et écologiste, soutenue par le NPA et le Parti de Gauche aux élections régionales de Basse-Normandie, apporte son soutien aux actions de Boycott contre les produits Israéliens en soutien à la resistance Palestinienne à Carrefour Market à Alençon le 13 février.
Nouvelle lettre bien sentie adressée à Mme Alliot-Marie, lèche-bottes du CRIF, par Rosita RUCKI-BERNARD.
Le journaliste britannique Jonathan Cook, qui vit en Israël, dénonce dans cet article la progression de législations liberticides, qui n’ont rien à envier à ce qu’on appelle le « maccarthysme », du nom de cette chasse aux sorcières lancée aux Etats-Unis dans les années 1950 contre tous les opposants au système.
Jean-Guy Greilsamer écrit à son tour au ministre de la justice et au premier ministre: « Je poursuivrai résolument mon engagement dans des actions pacifiques de boycott des produits d’Israël tant que cet Etat ne se conformera pas au droit international »
Une grève générale et des affrontements avec l’armée d’occupation étaient en cours, lundi à Hébron, après l’annonce de la confiscation officielle du Tombeau d’Abraham par le gouvernement israélien.
A lire, ci-dessous, la lettre adressée par Serge Grossvak, militant de la campagne boycott actif dans le Val d’Oise, à la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie. J’ai participé à l’action de dénonciation des produits de la colonisation dans un hypermarché du Val d’Oise, alors mettez-moi en examen si vous le voulez, dit Serge à la ministre.
Et cela n’est pas brillant pour une ministre de la justice ! Elle a osé dire devant le CRIF de Bordeaux vendredi soir, en évoquant les actions de boycott contre les produits « made in Israel », et le procès de Sakina Arnaud à Bordeaux, que les produits casher étaient visés, alors qu’elle sait pertinemment que ce n’est pas le cas, et qu’elle l’a même affirmé devant l’Assemblée nationale avant de quitter son poste de ministre de l’intérieur au printemps dernier. Que Madame Alliot Marie apporte les preuves de ce qu’elle raconte !