Rien de surprenant à ce que le gouvernement n’ait rien trouvé de mieux pour répondre à la colère et au désarroi des jeunes que la répression et une loi liberticide datant de la guerre d’Algérie. La « fracture sociale » qu’il faut éviter, c’est bon pour les discours à la veille d’élections. Mais traiter réellement le problème des injustices sociales, nos dirigeants en sont bien incapables parce que la société qu’ils défendent est une société qui génére des pauves et des laissés pour compte, pour le plus grand profit des plus riches. Et le non respect du droit et des règles, ils sont mal placés pour le reprocher aux jeunes défavorisés car ils sont les premiers à en donner l’exemple à tous les plans, au plan intérieur où la délinquance financière règne au plus haut niveau, comme dans leurs relations amicales avec des gangsters et des criminels qui pratiquent le terrorisme d’Etat en Irak ou en Palestine.
Il n’est pas simple de coordonner les luttes de tous ceux qui sont indignés par cette politique, en l’absence d’un grand parti qui ait la volonté de le faire. Mais nous devons essayer de travailler ensemble, banlieues ou pas, chômeurs et travailleurs, pour construire une alternative à cette société dégénérée que l’on veut nous imposer.
Ci-joints plusieurs textes que nous avons reçus et qui soulèvent les vrais problèmes.
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