Des militants de la campagne BDS de Belfort ont pris la peine d’aller alerter les consommateurs, ce dimanche, sur la nécessité de boycotter les produits exportés par l’occupant israélien, sous couvert de « féminisme sioniste » d' »humanisme » et autres escroqueries du même acabit.
De nombreuses femmes se sont à nouveau déplacées à la Fontaine Saint-Michel à Paris ce samedi pour informer les passants de la situation dans le grand camp de concentration de Gaza.
En plus de l’appel au secours lancé à titre individuel par plus d’une centaine de femmes de Gaza, le département Femmes du réseau des Organisations Palestiniennes Non Gouvernementales (PNGO) qui regroupe 25 associations de femmes, nous fait parvenir ce communiqué et cette invitation officielle.
Situation inédite ce jeudi matin à la Cour d’Appel de Montpellier, devant laquelle comparaissaient Jeanne, Yamina et Bernard, trois militants appelant au boycott des produits israéliens, et relaxés le 14 août dernier par le tribunal de Perpignan.
Militante dans les mouvements des droits des femmes, Yaffa s’adresse à nous.
Un article qui résume bien la situation dans laquelle l’occupant israélien, malgré tous les efforts de nos dirigeants, se trouve acculé, quels que soient les moyens engagés pour tenter de contrecarrer les boycotts et desinvestissements de par le monde.
Pour la première fois, l’ONU dévoile au grand public ses archives audiovisuelles, tout nouvellement numérisées, sur les réfugiés palestiniens de 1948 à nos jours.
Contre l’impunité, d’Israël, pour la défense des droits du peuple palestinien et de la liberté d’expression en France : solidarité avec Yamina, Jeanne et Bernard ! Communiqué de l’ensemble des inculpés des procès BDS ((Boycott, Désinvestissement, Sanctions).
Le jugement du tribunal de Pontoise (Val d’Oise), qui a prononcé le 20 décembre dernier la relaxe de 7 militants de la campagne BDS poursuivis à l’instigation d’une officine sioniste et du gouvernement, vient d’être transmis aux parties. Son contenu en est exemplaire.
Des femmes du monde entier ont entendu cet appel au secours lancé par des femmes de Gaza et ont décidé d’y répondre. Nous aussi, aidons-les à briser le silence inacceptable qui entoure le camp de concentration créé par l’occupant israélien. Ces femmes nous rappellent qu’elles aussi sont palestiniennes, car la bande de Gaza fait bel et bien partie de la Palestine, même si certains ont tendance à l’oublier ou à vouloir le faire oublier.
