Défendre la Terre et Jérusalem
ISM (International Solidarity Movement) propose deux campagnes cet
été : la première à Jérusalem et en Cisjordanie, la
seconde à la frontière égyptienne de Gaza.
ISM (International Solidarity Movement) propose deux campagnes cet
été : la première à Jérusalem et en Cisjordanie, la
seconde à la frontière égyptienne de Gaza.
Chérif Boudelal, président de l’association « L’Immigration Repère et Citoyenneté », et vice-président du Collectif « Paix Comme Palestine », se réjouit des positions du NPA en faveur du boycott d’Israël et appelle à voter, lors des élections européennes, pour ce parti qui est le premier à « libérer les esprits dans un monde muselé.
Le lobby sioniste en France a fait retirer de DailyMotion une vidéo qui montre des militants du collectif 69 en train de diffuser des tracts devant le magasin Carrefour de Vénissieux pour appeler au boycott des produits dits « israéliens » .
Tout comme le karcher et la racaille avaient donné le ton, le « casse-toi pauv’ con » fait des émules, à divers échelons de la « hiérarchie ». A voir la vidéo d’ Albert Marouani, président de l’université de Nice, en train d’insulter les étudiants en grève, de les agresser physiquement et de les menacer. Et ce sont ces gens-là qui sont aux manettes !
Descentes de police, confiscations d’ordinateurs, interrrogatoires, la police israélienne aux mains des amis de Lieberman a ouvert la chasse contre les Israéliens accusés d' »incitation à la désertion ».
« On se demande vraiment ce qu’Israël attend pour sortir de Palestine occupée », écrit benoitement un conseiller municipal PCF qui revient des territoires palestiniens occupés. Réponse : Israël attend qu’on l’y contraigne. A quand l’appel par tous ces élus au boycott d’Israel, comme le réclament la société palestinienne et les opposants israéliens ?
Observations et réactions de Raymond Combaz, de retour d’israël et de Palestine. Racisme anti-arabe, arrogance des colons, spoliation des Palestiniens, intégrisme religieux florissant en Israël, négationnisme et ré-écriture de l’histoire, Raymond Combaz a pu, en quelques jours, mesurer l’abîme entre le discours ambiant et la réalité du sionisme. Il raconte.
Interpellée en direct il y a quelques jours par une auditrice de France-Inter sur la dangerosité des groupes paramilitaires israéliens en France, le « premier flic de France », Michèle Alliot-Marie, a fait semblant de ne pas comprendre, avant que la direction de la radio ne coupe opportunément la communication téléphonique.
L’association israélienne « Médecins pour les Droits de l’Homme » (Physicians for Human Rights. PHR) dénonce la mort de 10 malades de la bande de Gaza, causée par le refus du gouvernement israélien de les laisser sortir pour se faire soigner. Refus systématique d’Israël de prendre en compte la coordination mise en place entre médecins de cette association et médecins palestiniens de Gaza pour l’évacuation des cas urgents.
Un charter de Kosovars, une rafle d’Afghans, deux enfants en prison, leur père en rétention, le père d’un enfant français, marié à une femme handicapée française, en rétention… : le tableau de chasse du ministre de la rafle et du drapeau, dressé par RESF (Reseau Education Sans Frontières).