Israël refuse l’accès aux tests ADN à Gaza, ce qui laisse des centaines de victimes non identifiées.
Les organisations de défense des droits de l’homme affirment que la poursuite de cette crise soulève des questions sur les tentatives de l’occupation de dissimuler des preuves et de manipuler le nombre de victimes.
Ces restrictions empêchent en tout cas les autorités compétentes d’accéder aux corps et de les examiner. Selon des sources médicales, l’identité de certaines victimes n’est déterminée que par des restes de vêtements ou des effets personnels trouvés à proximité, tandis que des centaines de corps et de squelettes sont classés comme « non identifiés », laissant leurs familles dans un état de chagrin et de perte, entre espoir et désespoir.
Des appels ont été lancés pour la fourniture immédiate d’équipements de tests ADN afin de garantir l’identification des victimes et de clore ce douloureux dossier humanitaire.
CAPJPO-Europalestine
