Après avoir été informé par l’OMS que son traitement médical à l’étranger avait été approuvé, l’enfant Jalal M. Toman, atteint d’une maladie du foie, a été choqué et dévasté d’apprendre à la dernière minute que sa demande avait été rejetée et qu’il ne pouvait plus voyager.

Des milliers de Gazaouis blessés et malades attendent et espèrent toujours recevoir des soins appropriés. Les hôpitaux de Gaza ne fonctionnent pas correctement, surtout depuis qu’Israël a bloqué l’entrée de carburant.
Le Dr Mohammad Abu Salmiya, responsable de l’évacuation des blessés et des malades au ministère de la Santé, a déclaré à Al Jazeera que 5 à 10 patients de Gaza perdent la vie chaque jour en attendant d’être soignés à l’étranger.
Environ 40 % du total des patients sont décédés en raison des restrictions de voyage israéliennes et du manque de services médicaux adéquats à Gaza.
Ainsi les patients diabétiques subissaient, avant le génocide, trois séances de dialyse par semaine, chacune d’une durée de 4 heures, ce qui leur permettait de vivre une vie relativement normale. Cependant, en raison du manque d’équipement causé par le génocide et des déplacements massifs de population, les séances ont été réduites à deux par semaine, chacune d’une durée de seulement deux heures, ce qui a entraîné la mort d’environ 450 patients.

CAPJPO-Europalestine