Une épidémie due à une nouvelle souche du virus de la grippe se propage rapidement dans la bande de Gaza, en raison de la détérioration des conditions de vie causée par le génocide en cours, alerte le Dr Mohammad Abu Selmiya, directeur de l’hôpital Al-Shifa.
Ce virus se caractérise par de la fièvre, des douleurs, un nez qui coule, une toux et une diarrhée de plus d’une semaine.

Les causes d’un tel virus sont apparemment un système immunitaire affaibli par la faim, le manque d’eau propre, le manque de produits de nettoyage et d’hygiène, ainsi que la surpopulation dans les tentes. Toutes causes liées aux conditions de vie déplorables imposées par Israël.
UN EXEMPLE : À l’hôpital international Al-Helou, dans la ville de Gaza, trois enfants partagent une seule pouponnière en raison de la surpopulation et du nombre croissant de cas de malnutrition sévère qui ravagent les corps des habitants de Gaza

Quand on sait que le génocide perpétré depuis près de 2 ans par Israël provoque déjà des épidémies de polio, d’hépatite A, de gale, de poux, de rougeole, d’infections respiratoires, de maladies infectieuses, de malades de la peau rares, et de méningites, on se demande quand le monde va ses décider à agir ?
Sans parler du fait que la plupart de ces maladies ne peuvent être soignées, faute de médicaments, que les génocidaires ne laissent pas entrer.
Ainsi, depuis juin dernier, Gaza a enregistré 94 cas de syndrome de Guillain-Barré (SGB), entraînant 10 décès, dont 4 enfants de moins de 15 ans, selon l’Organisation mondiale de la Santé. Ce syndrome rare provoque une paralysie partielle ou complète et peut entraîner des difficultés respiratoires, plaçant les patients dans un état critique. L’OMS a annoncé que les fournitures médicales essentielles pour le traitement du SGB, notamment les immunoglobulines intraveineuses (IgIV) et les filtres plasmatiques, étaient épuisées…
CAPJPO-Europalestine