Naama Levy, la soldate israélienne dont la photo de la capture à la base militaire de Nahal Oz a alimenté les accusations de viol du 7 octobre portées par Israël contre le Hamas, n’a mentionné aucune violence sexuelle, lors de son témoignage détaillé vendredi à New York..

Elle a expliqué que le sang visible sur les images largement diffusées provenait de blessures de combat.
Soldate captive, libérée en janvier 2025, elle s’est exprimée publiquement huit mois après sa libération. Elle a déclaré avoir « souffert de malnutrition sévère », et de la peur constante que chaque instant soit le dernier.
Ses déclarations sur la faim et le manque d’articles d’hygiène personnelle rejoignent de nombreuses déclarations du Hamas soulignant que les soldats israéliens détenus depuis que la famine sévit à Gaza, subissent les mêmes conditions que les habitants sous le siège israélien, qui continue de tuer des dizaines de personnes chaque jour de faim et de maladies.
L’affaire Levy a attiré l’attention internationale après que des images l’ont montrée ensanglantée et vêtue d’un jogging gris lors de son enlèvement de la base militaire de Nahal Oz. Cette image est devenue la pierre angulaire des accusations de viol portées par Israël dans le monde, souvent utilisées pour mobiliser les manifestants pro-israéliens et pro-génocide.
Une fake news de plus ! « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose »…
CAPJPO-Europalestine