Au milieu de l’assaut intensifié d’Israël sur la ville de Gaza, une femme palestinienne âgée en train de marcher main dans la main avec son mari, refusant de le lâcher, comme s’il était sa dernière ancre d’espoir dans un monde en train de s’effondrer.

Faisant écho aux horreurs de la Nakba de 1948, les Palestiniens sont aujourd’hui chassés de force de la ville de Gaza sous la pression des massacres israéliens indescriptibles, confrontés à ce qui pourrait être un déplacement permanent et irréversible, en l’absence de sanctions de la part de nos gouvernants.

Un enfant marche vers le sud depuis la ville de Gaza, transportant le peu qu’il a pu sauver après son déplacement forcé
Mais y a aussi de nombreux enfants, femmes et personnes âgées qui dorment dans la rue, n’ayant nulle pas où aller ou pas les moyens de se déplacer.
Beaucoup, compris des enfants blessés, se sont rassemblés devant l’hôpital Al-Shifa à Gaza, et se retrouvent désormais sans abri ni lieu sûr où se réfugier.

CAPJPO-Europalestine