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« Le barrage
Ce qui m’intéresse dans le barrage, loin de ses différentes acceptions, c’est la superficie de celui-ci, cette superficie qui dissocie entre le séparé et le séparateur, ce point où ces deux-là se retrouvent et concentrent leurs convulsions et tensions physiques et psychiques, visibles ou pas. C’est un barrage sans couleur, sans forme, sans style… Et même si son contenu reflète la culture de son propriétaire, le séparateur, le barrage n’est autre que la grisaille de l’action qui sépare une âme d’une autre, et l’Autre de son âme. »
Hani ZUROB
2007