Amnesty International et plusieurs autres ONG ont lancé un appel demandant au gouvernement de Gaza, dirigé par le Hamas, de renoncer à l’exécution de 13 condamnés à mort, apparemment programmée de manière imminente.
A la différence des précédentes applications de ce châtiment barbare, qui avaient eu lieu en pleine attaque israélienne en 2014 et concernaient des hommes accusés d’espionnage, les condamnés seraient cette fois des hommes reconnus coupables de vol à main armée suivi de meurtre.
Nous ne pouvons cependant que faire nôtre la position d’Amnesty International, qui « condamne le recours à la peine de mort, dans tous les cas sans exception, indépendamment de la nature du crime commis, de la culpabilité ou autres caractéristiques de l’individu concerné».
On laissera cependant de côté les larmes de crocodile des représentants de l’Union européenne au Proche-Orient, eux qui assurent depuis trop longtemps une impunité à Israël et à ses crimes de masse.
CAPJPO-EuroPalestine