La militante irlandaise Mairead Maguire, Prix Nobel de la paix, vient d’annoncer qu’elle se joint à la Coalition Internationale des Femmes contre le blocus de Gaza, qui souhaitent de rendre à Gaza à l’occasion de la Journée Internationale de la Femme, le 8 mars prochain.
Nous venons de recevoir un appel à l’aide du comité de résistance populaire du sud de la Cisjordanie pour exiger la libération de l’un des coordinateurs de cette résistance non violente à l’occupation israélienne.
Margaretta D’Arcy, pacifiste, féministe, écrivain et réalisatrice, est en prison en Irlande pour avoir protesté contre l’utilisation de l’aéroport de Shannon (2ème aéroport irlandais, à l’ouest du pays) comme base militaire par les avions militaires américains qui vont larguer des bombes sur les populations civiles dans différents pays, dont l’Afghanistan.
Sans grande surprise, « vu le contexte actuel » comme dirait Mme Taubira, le juge des référés du tribunal administratif de Montreuil s’est aligné sur le point de vue du préfet contre la délibération du conseil municipal de Bagnolet qui a élu Georges Ibrahim Abdallah citoyen d’honneur de la ville.
Des dessinateurs de tous les pays viennent d’envoyer une lettre ouverte à la Direction du Festival international de la bande dessinée pour protester contre le choix d’une entreprise coloniale comme sponsor du Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême.
Communiqué de soutien qui nous va droit au coeur !
Le quotidien Libération faisait ses choux gras, vendredi, d’une photo de militants de la CGT d’Air France posant pour une « quenelle », à l’issue d’une grève récente, apparemment couronnée de succès.
Sept civils palestiniens ont été blessés dans une série de raids aériens lancés par l’aviation israélienne à l’aube ce vendredi, sur plusieurs sites dans la bande de Gaza.
Les colons d’Ariel continuent de verser intentionnellement leur eaux usées (3000 litres/jour) dans les vallées de Salfit, plus particulièrement dans le site naturel d’Al-matwi, qui a été aménagé par les Palestiniens comme un parc naturel.
On peut désormais appeler la circulaire Alliot-Marie « circulaire Taubira », étant donné qu’en bientôt 2 ans, elle n’a pas décidé d’abroger ce que le syndicat de la magistrature a qualifié d' »‘attentat judiciaire ». Interpellée ces jours-ci au parlement par le député Jean-Jacques Candelier, la ministre de la justice a, une fois de plus servi une infâme bouillie.
