Le cessez-le feu n’a pas libéré les deux millions de femmes, d’hommes et d’enfants séquestrés dans le camp de concentration de Gaza*. C’est à nous d’exiger la levée d’un blocus qui, depuis 15 ans, prive toute une population de liberté, mais aussi d’eau potable, d’électricité et de soins. Une situation inhumaine qui tue à petit feu des milliers d’êtres humains chaque année !
*Si vous recherchez dans le dictionnaire la définition d’un camp de concentration, vous trouverez la définition suivante :
« On nomme camp de concentration un lieu fermé de grande taille créé pour regrouper et détenir une population considérée comme ennemie, généralement dans de très mauvaises conditions. Cette population peut se composer des opposants politiques, des résidents d’un pays ennemi, de groupes ethniques ou religieux spécifiques, des civils d’une zone critique de combats, ou d’autres groupes humains, souvent pendant une guerre. Les personnes sont détenues en raison de critères généraux, sans procédure juridique, et non en vertu d’un jugement individuel. Le régime nazi a créé une relative confusion en utilisant le terme de camp de concentration pour désigner certains de ses camps d’extermination, il convient de les distinguer, même si les conditions de détention dans les camps de concentration peuvent mener à des niveaux de morbidité et de mortalité extrêmement élevés.
L‘expression « camp de concentration » fut créée à la fin du XIXe siècle. En effet, l’innovation technique du fil de fer barbelé permit de clore de vastes espaces à peu de frais. La première utilisation de ce terme se fit à propos de la Seconde Guerre des Boers, comme innovation britannique. Il était inspiré du terme espagnol « reconcentración », utilisé par les Espagnols pendant la guerre avec Cuba (1895-1898).«
On n’avait pas dit « Plus jamais ça » ?
TOUS AU RASSEMBLEMENT CE SAMEDI À 15 H À LA FONTAINE DES INNOCENTS (ANGLE RUE SAINT-DENIS ET RUE BERGER) -MÉTRO CHATELET OU RER CHÂTELET LES HALLES
Dans le respect des consignes sanitaires gouvernementales, nous informerons ensemble la population des conditions de détention inhumaines de ces Palestiniens, y compris quand ils ne sont pas ensevelis sous les bombardements.
CAPJPO-EuroPalestine
