Nous nous sommes retrouvés entre 2.000 et 3.000 dimanche à Paris, pour commémorer le 60ème anniversaire du pire massacre perpétré par la police le 17 octobre 1961, où au moins 200 Algériens manifestant pacifiquement pour l’indépendance de leur pays ont été assassinés.
La veille, Emmanuel Macron s’était fendu d’un « hommage » hypocrite aux victimes, se contentant de mettre la tuerie sur le dos du seul préfet de police de l’époque (Maurice Papon, mort tranquillement dans son lit à l’âge de 97 ans), sans citer personne d’autre : ni les milliers de policiers et gendarmes qui s’étaient déchaînés contre la foule, ni bien entendu les supérieurs de Papon, c’est-à-dire le gouvernement de la France.
C’est pourquoi le mot d’ordre principal de ce 60ème anniversaire était la reconnaissance du 17 octobre 1961 pour ce qu’il fut : UN CRIME D’ÉTAT !
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OKNon